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AU COEUR DE L’AFRIQUE DE L’OUEST, 13 jours: Côte d’Ivoire

AU COEUR DE L’AFRIQUE DE L’OUEST, 13 jours: Côte d’Ivoire

Duration:
13
Tour Type:
Découverte
Groupe international
Group size:
De 2 à 16 participants
PRIX par personne:
- GROUPE DE 6 PARTICIPANTS OU PLUS: 3307 €
- Groupe de 2/5 participants: 4243 €
- Supplément chambre individuelle: 553 €
GUIDE : parlant Français, Italien, Anglais
Acompte au moment de la réservation:

1.476,00

L'acconto è inteso come 30% del totale. Per maggiori informazioni, puoi visionare la nostra informativa.

IVORY COAST
An experience to discover a multifaceted Africa. We will get to know tribal chiefs and sacred monkeys, visit the hunter villages and admire the skyline of Abidjan. From liana bridges to cathedrals, from the savannah to the forest and the ocean, passing through the initiation dances and the discovery of traditional masks.

DEPARTURES:

3 November 2022

29 December 2022

2 February 2023

30 March 2023

3 August 2023

2 November 2023

28 December 2023

PRICE FROM: 3280 €

Discount:
Departure:
  • 3 novembre 2022 - 15 novembre 2022
  • 29 décembre 2022 - 10 janvier 2023
  • 2 février 2023 - 14 février 2023
  • 30 mars 2023 - 11 avril 2023
  • 3 août 2023 - 15 août 2023
  • 2 novembre 2023 - 14 novembre 2023
  • 28 décembre 2023 - 9 janvier 2024
Total: 1476

Special offer

Description

CÔTE D’IVOIRE

Un voyage dans un pays récemment redevenu accessible aux voyageurs.
Un itinéraire pour les vrais « pionniers » désireux de découvrir une Afrique aux multiples facettes: des ponts en liane aux cathédrales, des masques tribaux aux danses d’initiation, des chefs de tribus aux singes sacrés, des villages de chasseurs traditionnels au paysage urbain d’Abidjan, de la savane aux forêts et aux plages sauvages de l’océan. Chaque jour apportera son lot de surprises et vous plongera dans des cérémonies traditionnelles authentiques et hautes en couleur.
Pour les voyageurs qui aiment les voyages sans filtres en Afrique

JOUR 1: Abidjan
Arrivée à Abidjan et transfert à l’hôtel.

JOUR 2: Royaumes forestiers, d’Abidjan à Abenguru (260 km – transfert 5 h)
Départ pour une région limitrophe du Ghana
Non loin de la frontière avec le Ghana vit l’ethnie Agni, organisée selon une stricte monarchie. Ils partagent avec les Akan du Ghana une culture liée à la richesse économique offerte par la forêt, le culte des rois et de l’or. Au palais royal, nous rencontrerons les «notables», soit des anciens du conseil et le féticheur protecteur du trône qui nous recevrons avec leurs parures de cérémonie. Une occasion unique pour mieux comprendre le rôle de la “chefferie” traditionnelle dans un état moderne. S’il est disponible, le roi nous recevra.
Plus tard, nous rencontrerons une communauté de Komians. Avec un peu de chance, nous pourrions assister à la danse divinatoire.
Selon l’Akan de la Côte d’Ivoire, le terme Komian fait référence à la transe, c’est-à-dire à la possession de l’esprit. Les personnes appelées ainsi, principalement des femmes, sont initiées pour communiquer avec le monde des esprits à travers des gestes divinatoires dont le lancement de coquilles, la vision sur l’eau ou la danse. La danse est notamment le geste le plus spectaculaire, et sert à résoudre les problèmes les plus complexes et ne se pratique que certains jours de la semaine : en face de son interlocuteur, de certains de ses proches et de la foule de curieux attirée par le rythme du tam-tam, la prêtresse komian commencera alors une danse rituelle d’invocation jusqu’à atteindre l’état de transe. C’est la manifestation de l’esprit révélé à “l’ouverture de la bouche”, à laquelle la prêtresse doit une abnégation totale, et qui indiquera la nature du problème et la voie à suivre.

JOUR 3: Une basilique dans la savane, d’Abengourou à Yamoussoukro (250 km – transfert 5 h)
Arrivée à Yamoussoukro, capitale du pays depuis 1983. C’est le village natal de Félix Houphouët-Boigny, premier président de la Côte d’Ivoire et l’un des plus grands leaders de l’indépendance. Il a mis en place des aménagements agricoles qui ont créé une riche classe moyenne de planteurs et d’agriculteurs. Le succès économique attire les immigrants des pays voisins du Sahel et les investisseurs étrangers occidentaux, faisant ainsi de la Côte d’Ivoire l’économie géante de l’Afrique de l’Ouest francophone. À Yamoussoukro, la capitale politique officielle, et à Abidjan, la capitale économique, le rêve ivoirien des années 1970 et 1980 s’est réalisé. Le rêve d’un pays qui a réussi à rivaliser avec les capitales européennes en termes d’architecture et de taille des bâtiments. Avec la mort de Houphouët-Boigny, la ville de Yamoussoukro est restée la capitale officielle, mais le président, les ministères, le gouvernement et l’administration sont à Abidjan. Après une période de crise qui a dégénéré au cours d’une longue guerre civile, la Côte d’Ivoire a retrouvé la paix et la stabilité et a enregistré l’un des booms économiques les plus rapides de l’Afrique.
Un des « enfants » du boom économique des années 1980 est la basilique Notre-Dame de la Paix . Selon le livre Guinness des records de 1989, sa largeur est de 150 m. en fait le plus grand édifice religieux chrétien au monde (Saint-Pierre de Rome n’a «que» 115 mètres de large). Et avec ses 7 763 mètres carrés de vitraux, il possède également la plus grande section de vitraux au monde.  Son architecture a été inspirée par la basilique Saint-Pierre de Rome et la basilique est encore aujourd’hui un lieu de culte fervent en Afrique catholique.
À Yamoussoukro, les voitures circulent sur de larges boulevards en essayant constamment d’éviter les nids-de-poule et les poulets errants ! Au cours de la visite, notre attention sera également portée sur les immenses bâtiments du gouvernement, les hauts hôtels de 14 étages et le lac artificiel habité par des caïmans. Et pourtant, dans tout cela, ce qui frappe le plus notre imagination, c’est le sentiment de vide, le néant qui entoure ce qui est devenu un rêve révolu.

JOUR 4: Lignée Akan, de Yamoussoukro à Bouake (200 km – transfert 5 h)
Nous partons à la rencontre du peuple Baoulé de la lignée Akan originaire du Ghana Les Baoulé partagent avec leurs cousins, les Ashanti du Ghana, une hiérarchie sociale complexe, mais ils ont également enrichi leurs traditions culturelles en s’inspirant de leurs voisins. Leur artisanat complexe témoigne de ce riche patrimoine : de fines statues représentant le monde des esprits, des poulies sculptées pour les métiers à tisser et de beaux masques.
Dans la région de Daloa nous assistons aux danses des masques Zaouli. Le Zaouli est une danse traditionnelle du peuple Guro. Le masque Zaouli a été créé dans les années 1950 ; il aurait été inspiré par une fille nommée « Djela Lou Zaouli ». Cependant, les histoires sur les origines des masques sont variées et chaque masque peut avoir sa propre histoire symbolique.
Plus tard nous assistons à la danse des masques Goli, qui peut être exécutée à la fois pour divertir mais également pour célébrer les funérailles d’une personne de haut rang. La tribu Baoulé a emprunté ce rituel à ses voisins, la tribu Wan, après 1900.  Tout en célébrant la paix et la joie, les participants vont chanter, danser et boire du vin de palme

JOUR 5: Dans la savane des Senufo, de Bouaké à Korhogo (225 km – transfert  5 h)
Matinée en direction du nord, le paysage va progressivement changer avec de grands baobabs.
La ville de Korhogo est un passage obligé pour tout voyageur visitant les régions du nord de la Côte d’Ivoire. Son histoire remonte au XIIIème siècle et est aujourd’hui la capitale des Sénoufos, la tribu qui a produit certaines des plus grandes œuvres d’art d’Afrique, dans presque tous les domaines: sculpture, tissage, peinture et forge.
Nous nous rendrons dans un village éloigné pour apprécier l’ancienne technique de fonte du fer pratiquée par un ancien forgeron, un très rare exemple de la métallurgie traditionnelle du fer en Afrique. Cette «technologie tribale» nous ramènera au premier âge du fer en Afrique, en référence à la préhistoire et à la protohistoire de l’afro-Eurasie, époque à laquelle le matériau de fabrication dominant était le fer.
Le minerai de fer provient des mines locales sous la forme de fosses profondes et il est broyé manuellement. Le traditionnel «four à soufflets en argile» est chargé de couches de charbon de bois et de couches de minerai, puis le feu est allumé. Nous pouvons maintenant momentanément oublier le four, car la fusion durera jusqu’au lendemain matin. Les techniques de fonte du fer sont secrètes et toujours associées à des tabous et à des initiations. Le forgeron est endogame, ce qui signifie que seuls les enfants issus de familles de forgerons sont éligibles pour un long apprentissage dans le métier. La tribu les craint car ils possèdent des pouvoirs magiques obscurs, sont en contact avec de mauvais esprits, sont capables de transformer des pierres en fer et peuvent transformer un morceau de fer solide en liquide, puis à nouveau en solide. Ils sont considérés comme des «maîtres du feu», capables de faire appel aux «esprits de la terre» avec leurs puissants marteaux. En raison de leurs pouvoirs magiques effrayants, les forgerons doivent souvent vivre en dehors des villages. Il s’agit d’une caste très puissante : la fabrication d’outils et d’armes en fer permet une agriculture extensive, une chasse efficace et une guerre réussie.
Arrivée dans la soirée à notre confortable hôtel à Korhogo où nous passerons deux nuits.

JOUR 6 : La danse des panthères
Dans la matinée, retour au village pour voir le résultat de la fusion. La base scellée du four d’argile sera brisée pour extraire le fer obtenu et le forgeron en pilera une partie. Ensuite, à l’aide d’un soufflet, il chauffera la poudre de métal obtenue jusqu’à ce qu’elle fonde dans un creuset et il la coulera dans un moule. Le métal est ensuite chauffé une fois de plus et martelé sur la forge pour prendre la forme requise ; il sera finalement poli pour faire disparaître imperfections et bosses.  Nous aurons suivi l’ensemble du processus menant à la création d’un objet. La métallurgie traditionnelle du fer est un exemple rare d’une ancienne «technologie tribale». Pendant plus de 80 ans, on croyait que cette technique avait disparu… jusqu’à la découverte de ce village!
Les Sénoufos sont réputés pour leurs rites d’initiation complexes. Poro, le rite d’initiation des hommes, est un long processus qui dure 21 ans. C’est le passage de la jeunesse à l’âge adulte qui consiste à apprendre les secrets sociaux et religieux qui font du garçon un véritable homme Sénoufo.
Leur danse au masque la plus spectaculaire est la danse Boloy, connue sous le nom de danse de la panthère, interprétée par des initiés – nous y assisterons plus tard dans l’après-midi.

JOUR 7: La danse des vierges, de Korhogo à Boundiali (150 km – transfert 3 h)
Nous quitterons la route principale pour découvrir le village de Niofoin avec ses greniers en argile, ornés de bas-reliefs symboliques, et avec une maison sacrée unique dotée d’un haut toit conique. La maison est ornée de décorations et d’objets sacrés appartenant aux cultes animistes, encore pratiqués par les Sénoufos.
Plus tard dans la journée, rencontre avec les nomades Fulani, facilement reconnaissables, constamment à la recherche de pâturages pour leurs troupeaux de zébus. Les Peuls se reconnaissent facilement à leurs huttes coniques en paille, à leur bâton de marche qu’ils portent toujours sur leurs épaules, à la bouteille d’eau qui leur pend au cou, à la machette à la main et à leur fière posture. Ces nomades semblent venir de nulle part et ne se diriger vers nulle part. Habitués à une vie rudimentaire, ils ont l’air parfaitement satisfaits du peu qu’ils portent. Ce sont les vrais « gentlemen » de ces savanes sans fin. Visite d’un village majoritairement habité par des femmes et des enfants. Nous serons invités dans leurs cabanes pour voir de vieilles photos de famille, des cadeaux de dot, etc. Les femmes portent de beaux tissus colorés et, autour du cou et dans les cheveux, des bijoux tribaux très spéciaux (ambre de la Baltique, perles de Bohême, vieilles «murrines» vénitiennes, pierres, boutons et tout autre objet en plastique qui leur plaît).
Tard dans l’après-midi, nous assistons à la danse des filles vierges – appelée Ngoro, interprétée par les Sénoufos et faisant partie de l’initiation du Poro.  Les jeunes initiés passent des mois ensemble dans des bois sacrés isolés où ils apprennent les secrets sociaux et religieux qui transforment une fille en véritable Sénoufo. Après sept ans, il y a une grande fête pour ceux qui ont passé toutes les étapes de l’initiation. La danse des filles vierges en particulier est exécutée à la fin de la première étape de l’initiation.

JOUR 8: Guerriers sacrés, de Boundiali à Odienne (150 km – transfert 3 h)
Dans la région d’Odienne, nous rencontrerons les Malinké, descendants de l’ancien Empire du Mali. Samory Touré, chef de file et chasseur d’esclaves, est devenu célèbre pour sa guerre contre l’armée coloniale française, qui n’a pu le vaincre qu’après de nombreuses années de combats. Son armée comprenait les Dozo (chasseurs initiés) connus pour leur courage et leurs pouvoirs mystiques. Bien qu’il n’y ait plus de guerres à combattre, cette lignée continue de susciter le respect et ses pouvoirs mystiques sont toujours transmis au cours d’un long processus d’initiation. Aujourd’hui, ils sont considérés comme une sorte de police locale, d’anges gardiens veillant sur les villages, des médiateurs de différends et bien sûr des grands guérisseurs. Courageux et connaissant parfaitement le territoire, ils sont employés par le gouvernement pour sécuriser les frontières septentrionales du pays.
Nous rencontrerons les Dozo – vêtus de leurs costumes traditionnels en tissu «Bogolan» et portant leurs fusils de chasse recouverts d’amulettes. Nous marcherons dans la savane avec eux. Ils nous introduiront au monde intéressant des plantes médicinales traditionnelles et nous emmèneront dans un site sacré où, au rythme croissant des tam-tams, ils danseront et feront preuve de leur force.

JOUR 9: Masques acrobatiques, de Odienne à Man (270 km – transfert 5 h)
La journée est consacrée à la rencontre avec les Yacuba, également connus sous le nom de Dan.
Nous visitons des villages construits à flanc de colline et caractérisés par de grandes huttes rondes aux toits de chaume. Certaines maisons sont décorées de fresques réalisées par des femmes pendant les cérémonies.
Au milieu des branches parfumées de la plantation de café et à l’ombre d’un énorme arbre Iroko, nous visitons un grand étang peuplé de poissons-chats vénérés, gardiens des ancêtres. Bientôt, les échos des tam-tams et les cris des initiés indiquent aux masques qu’il est temps de quitter la forêt sacrée… ils apparaissent donc et nous offrent des émotions inoubliables.
Nous nous dirigeons vers le sud et lorsqu’apparaîssent le mont Tonkpi et sa «dent», nous savons que nous sommes proches de notre destination: Man.  Man s’est développé au pied de 18 montagnes extrêmement vertes; c’est la capitale des groupes ethniques We et Guéré.

JOUR 10: Ponts de Liane, de Man à la région de Danani et retour (200 km – transfer 5 h)
La forêt tropicale qui s’étend entre la Côte d’Ivoire et le Libéria est célèbre pour ses longs ponts de liane. Leur mystère reste entier. La tradition dit qu’ils sont secrètement construits par de jeunes hommes initiés au cours d’une nuit seulement!
Dans un petit village voisin, des masques émergeront de la forêt pour se diriger vers nous. Dans la cosmogonie du peuple Guéré, il existe un dieu créateur qui ne communique avec les humains que par ses intermédiaires, les masques : lors de la danse des masques, la distance entre le monde humain et le monde des esprits disparaît, les ordres cosmique et social sont restaurés et la gratitude est exprimée aux dieux et aux ancêtres.

JOUR 11: Rituels en forêt, Man (transferts et vols vers Abidjan)
Des véhicules 4×4 seront nécessaires pour découvrir la région forestière isolée où l’arrivée d’étrangers est un événement rare. La piste traverse des ponts en bois avant d’atteindre les localités plus isolées peuplées par l »ethnie Guéré. Les masques sacrés et spectaculaires danseront pour le village.
Le roulement des tambours annoncera les performances rares des “Jongleurs”. Les jongleurs font partie d’une ancienne tradition en voie de disparition. Des filles initiées au visage peint en kaolin blanc exécutent une danse acrobatique unique… L’après-midi vol vers Abidjan

JOUR 12 : Gratte-ciel et lagunes, d’Abidjan à Grand Bassam (50 km)
Le matin, test PCR à l’hotel.
Découverte de Abidjan.
Au-delà de la lagune, le « Plateau » (commune de la ville) se développe très rapidement, pas horizontalement comme dans la plupart des villes africaines, mais verticalement, avec ses grands bâtiments modernes et ses gratte-ciels. Il y a peu de terres disponibles et celles qui le sont doivent être régulièrement tirées des eaux de la lagune Ebrié. Le quartier moderne de la ville est défini à l’ouest par le port et ses files d’attente interminables de personnes attendant un navire, et à l’est par la silhouette incroyable de la cathédrale Saints Pierre et Paul. Lorsque nous admirons la ligne d’horizon, seule la Statue de la Liberté semble faire défaut, mais il s’agit de l’Afrique noire, pas de Manhattan!
La visite commence par un court trajet en ferry pour une vue générale du «plateau», une perspective depuis les eaux. Ensuite, à partir du marché très animé de Treichville, nous nous dirigeons vers le paisible quartier «Cocody», un élégant quartier résidentiel abritant le bureau du Premier ministre et quelques bâtiments coloniaux blancs.
Dans le quartier de Youpugon, nous rencontrons le Fanico, blanchisseurs lavant des vêtements dans la rivière et les séchant sur la colline d’herbe environnante. Des centaines de vêtements et de tissus colorés gisant sur l’herbe créent un patchwork géant. Nous visitons ensuite le Musée National avec sa collection d’art tribal présentant des masques et des statues de divers groupes ethniques de la Côte d’Ivoire.
Route vers Grand Bassam

JOUR 13 : Grand Bassam, ancienne atmosphère coloniale, de Grand Bassam à Abidjan (50 km)
Grand Bassam est une vieille ville construite sur un banc de sable entre le lagon et l’océan. C’était l’ancienne capitale de la colonie française de la Côte d’Ivoire et est maintenant une station de loisirs maritime pour les Abidjanais. Grâce à ses avenues calmes, ombragées par de grands arbres, ses grands bougainvilliers et ses bâtiments coloniaux bien conservés, Grand Bassam dégage une atmosphère magique. L’ancien bureau de poste est un joyau de l’architecture coloniale française. Le musée du costume, dans l’ancien palais du gouverneur, avec son grand escalier extérieur, est un véritable joyau architectural. Sa collection unique de costumes tribaux, de masques, d’ornements et de photographies ethnographiques donne un aperçu intéressant de l’histoire et de la culture du pays.
Transfert à l’aéroport pour le vol retour. Fin de nos services.

VISA: Ivory Coast – single entry visa. It is possible to obtain an E-visa authorisation directly online at http://snedai.com/e-visa/
E-visa is valid only for the arrival trought Abidjan airport, not by land borders.

VACCINATIONS: Yellow fever – compulsory; malaria prophylaxis – highly recommended.

ACCOMMODATION in standard rooms, as per itinerary. TWIN ROOMS (WITH 2 BEDS) ARE NOT AVAILABLE

MEALS: lunch, picnic or at local restaurants (pre-slected menus); dinner at the hotel restaurant (pre-selcted menu)

LUGGAGE: due to the itinerary please contain the weight in 20 kg (45 Lbs), preferable use duffle bags.

TRAVEL INSURANCE: Not included. Mandatory for medical assistance, repatriation, material and physical damages. We are not responsible for any material and physical damage during the tour.
Discover our insurance policy proposal: https://transafrica.biz/en/travel-insurance-en/

TRANSPORTATION: minibus and 4×4 vehicles (days 10 & 11) , domestic flight Man – Abidjan

All our trips are designed to be flexible so that we can adapt to weather conditions, focus on the group’s interests and take advantage of opportunities that arise once there.

Considering the special nature of the journey, some parts may be modified due to unpredictable factors and are based on unarguable decisions of the local guide. Costs originating from such variations will be sole responsibility of the participants. Of course, the guide will do his/her utmost to adhere to the original program.

Prices could change in case of major changes in services costs, beyond the organizer’s will.

In the event of cancellations, changes or delay in the schedule of the domestic flight, the organizers shall not be held responsible for any change, delays or disagreements and the costs that they may incur. It is understood that the organizers will do their utmost to find solutions to any problems inherent the journey

  • Assistance at airport upon arrival the first day and at the departure the last day of the tour
  • Transfers and tour in minibuses/microbuses and 4WD vehicles (days 10 & 11)
  • Tours and visits as per the programme
  • Accommodation in standard rooms, as per itinerary
  • All meals, from breakfast of day 2 to breakfast of last day
  • The equivalent of one bottle of mineral water during the transfers
  • Entrance fees to festivals, cultural sites and events; parks and protected areas
  • First Aid box
  • All service charges and taxes

 

Prices do not include:

  • International flights
  • Earlier (prior to day 1) and/or later (after last day) transfers from and to airport
  • Visa fees
  • Mineral water and drinks at restaurants and hotels
  • Fees for personal photos and videos
  • Personal and travel insurance (compulsory)
  • Tips for drivers, guides, portage and hotel staff
  • Costs related to delayed program or lost luggage
  • Any item of personal nature such as phone calls, laundry, etc
  • Whatever is not mentioned as included

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